Dans les années 1960, un nouveau mouvement artistique est apparu sur la scène internationale, l’arte povera, l’art pauvre en français est un mouvement italien né à Gènes. L’arte povera ne peut pas vraiment être définit comme un mouvement mais plutôt qu’une attitude que les artistes adoptent face à l’art.

Un concept de création

 

En réaction à la société de consommation, les artistes italiens ont décidés de prôner une attitude détaché du résultats et centré sur le processus de création. Le but de l’arte povera est de mettre en lumière le travail du créateur au delà des matériaux utilisés ou de la recherche d’une oeuvre finalisée. L’arte povera s’applique également à donner de la valeur à des objets qui n’en n’ont pas, cependant la notion de valeur est très vague au sein de l’art povera car il ne souhaite pas pouvoir être approprié, c’est un art qui n’est pas à vendre, il est insaisissable.

Un travail à base de matériaux « pauvres »

 

Les artistes en voulant faire perdre la valeur à l’objet et en voulant se détacher de la société de consommation ont commencés à travailler  avec des matériaux de la vie quotidienne comme du sable, des torchons, du bois… Les artistes utilisent de nombreux matériaux naturels puisqu’ils souhaitent renouer la culture à la nature et ne pas s’enfermer dans la consommation industrielle de masse.

Des œuvres extraordinaires

 

Les œuvres sont souvent composés de matériaux naturels, et combine philosophie et humour pour faire prendre conscience du développement extrême de la société de consommation et de la sur-monétisation de l’art. Parmis les artistes qui ont marqués ce mouvement ont compte Jeff Koons, Damien Hirst, Matthew Barney et le grand Giuseppe Penone.

Google+